Marie Ma Nouvelle Voisine – 22 / 23– Après-Midi Du Dimanche.

Lorsque nous arrivons chez Cello, Marie se rends directement dans la salle de bain, pour se laver, n'ayant pas l'intention de déranger mon mari, qui doit travailler. Pendant ce temps, Cello prépare une petite collation, en entendant que Laurent vienne les chercher.

Marie rejoint Cello sur la terrasse ensoleillée, nue, elle s'allonge sur un des transats. Cello picore dans le plat qu'il a préparé, fait de crudités (radis, bâtonnets de carotte et de courgette, boule de melon, tomates-cerises...) et de charcuterie (saucisson, salami, jambon cru, andouille...). Et ils boivent un bon verre de jus de fruit. Marie regarde Cello se restaurer, lui souris et s'endort, exténuée par cette matinée, la nuit trop courte et la folle soirée précédente.

Cello reçoit un appel de Laurent. Il lui dit qu'il a déposé un paquet dans son garage pendant qu'ils étaient à la pharmacie, il s'agit de la tenue que doit mettre Marie pour venir visiter la clinique. Il ajoute qu'il est pris par le temps et qu'il les retrouvera directement à la maison de retraite, dans son bureau, l’accueil sera au courant de leur visite.

Cello regarde l'heure et estimant qu'ils ont encore le temps, il laisse Marie dormir au soleil. Elle es belle, même radieuse, totalement nue, les cuisses ouvertes.

IL la laisse dormir et va dans le garage chercher le colis qu' a laissé le toubib. En ouvrant celui-ci, il découvre une tenue d'infirmière composée d'une blouse blanche avec le logo de la clinique, des bas blanc, un porte-jarretelles, une string ficelle blanc et des petites chaussures blanches.

Marie sent les mains de Cello caresser tendrement son visage. Elle ouvre les yeux et souris.

M. : « Bonjour Monsieur Cello ! Oh ! Cette petite sieste réparatrice m'a fait un bien énorme. J'avoue que j'en avais vraiment besoin. Laurent vient nous chercher à quelle heure? ».

C. : « Changement de programme, ce n'est pas lui qui vient, nous le retrouverons dans son bureau de la clinique, mais il a déposé un colis pour toi dans le garage.

Tiens regardes! »

Marie fait l'inventaire de ce qu'il y a dans le paquet, et dis :

M. : « Je suppose que je dois mettre cela pour me rendre à la clinique, mais il a oublié de mettre un soutien-gorge ».

C. : « Tu supposes bien, sauf pour le soutif. Laurent sachant que tu viens à la clinique pour montrer tes gros pis, il a sûrement jugé inutile que tu en mettes un ».

M. : « Ah ! Heu !... D'accord Monsieur Cello, très bien . Vous avez certainement raison, mais qu'allons nous faire exactement à la maison de retraite ? »

C.  : « Dans un premier temps, on va voir combien Laurent a de patient. Il en faudrait au moins 5, un par jour, du lundi au vendredi, le samedi tu as le patron du sex-shop, et le dimanche l'épicier pour te vider les mamelles. Et nous allons aussi discuter des conditions financières de chaque téter , vont-ils simplement te téter ou en profiter pour te doigter et peut être que tu devras finir par les soulager en les branlant ou en le suçant. Chaque prestation à un prix et pour une pute comme toi , non professionnelle, elles seront très chères surtout que tes consommateurs sont très riches».

Cela fait tout drôle à Marie que Cello parle en ces termes, prestations pour une pute, elle en a les larmes aux yeux, mais cela l'excite en même temps, et elle sens ses tétons érigés et son sexe devenir tout humide.

C. : : « Et pour finir, je suppose que Laurent va te présenter à chaque client éventuel, pour qu'ils te voient, mais surtout tes grosses mamelles, et savoir si tu peux être une bonne laitière ».

M. : « Ah! Euh !... D'accord Monsieur Cello, vous avez raison. Et pour le tire-lait on le prend ? Peut-être que Laurent me fera une démonstration d'utilisation à la clinique, et en plus ça devrais stimuler la lactation comme l'a dit la préparatrice de la pharmacie ».

C. : « Prends le si tu veux, mais logiquement tu ne vas pas en avoir besoin, on va à la clinique pour que ces messieurs voient tes mamelles, les soupèsent et constatent que tu peux être une bonne nourrice de vieux pervers ».


M. : « Ah euh ! D'accord Monsieur Cello, très bien. Bon ! Je vais dans la salle de bain me rafraîchir, me maquiller et me parfumer. Il faut que je séduise mes éventuels clients ».

Et elle gagne la salle de bain. Lorsqu'elle revient, toute pimpante et nue, elle s'habille et s'approche de Cello, l'embrasse et elle commence à enfiler les bas et le porte jarretelle, le string puis la blouse et les chaussures qui vont avec. Puis, elle regarde Cello et lui demande :

« Monsieur Cello vous ne trouvez pas que la blouse est un peu trop trop courte, on peut voir le haut de mes bas et le porte jarretelle. Et regardez, mes seins sont très à l'étroit dans cette tenue ».

C. : « "Non pas du tout, et descend un peu le zip de la fermeture, il te faut un décolleté plongeant lorsque tu te présentes, libère tes seins, que je puisse te caresser pendant le trajet ».

M. : « Euh !... Tout de suite Monsieur Cello, j'aime ça, quand vous caresser mes gros nichons ».

C. « Moi aussi j'aime tes grosses mamelles de vache laitière ».

Elle libère ses seins de la blouse et il dit : 

« Tu es parfaite pour faire le trajet en voiture, je vais pouvoir te caresser les seins et des passants vont j'espère pouvoir les mater, avant d'arriver à la clinique ».

Voyant ses tétons durcir, il lui dit :

C. : « Regarde comme cela t'excite d’être à moitié à poil, sachant qu'on peut te voir ».

M. : « Oh ! Monsieur Cello, vous êtes un gros cochon. Merci monsieur Cello, pour tout ce que vous me faites connaître, je vous aime ».

Cello lui rend son baiser et passe ses bras autour de ton cou et fixe autour de celui-ci le collier en cuir noir de soumise offert par le propriétaire du sex-shop, auquel il a ajouté une plaque en argent ou est inscrit : Je m'appelle Marie et je suis une salope soumise.

Marie va pour se diriger vers le garage, et là, Cello lui dit, qu'il a garé sa voiture devant la maison.
Alors Marie lui dit :

« Mais enfin Monsieur Cello... Euh !.... Mais les voisins vont me voir seins nus, si j'y vais comme cela ».

C. : « Ils ne seront peut être pas dehors, et si des voisins te voient, tu les salues naturellement comme si tu étais habillée. Il faut vraiment que tu assumes ton nouveau statut de salope ».

Marie confiante sors de chez Cello en direction de sa voiture, et alors qu'elle contourne celle-ci, elle voit de l'autre côté de la route, sur le trottoir son voisin, dont la maison se trouve juste en face de la sienne, une baguette de pain à la main. Lorsqu'il la voit, il stoppe sa marche et la salue, Elle lui dis « bonjour » en lui faisant un petit signe de la main en continuant de se diriger vers la portière passager. Son voisin est toujours arrêté à la mater. Elle entend alors sa femme lui demander ce qu'il regarde et lui de répondre : « une apparition », et se dépêcher de rentrer chez lui.

Quand je retrouve Marie dans la voiture, elle est en train de te caresser les seins et de rouler entre ses doigts, ses téton dressés.

C. : « Qu'est ce qui t'excite comme ça, salope!? »

M. : « Heu. !.. C'est mon voisin, monsieur Duval, il m'a vu, et il est resté comme médusé jusqu'à ce que sa femme l'appelle »

C. : « Et comment tu as réagis ? »

M. : « J'ai fait comme vous me l'aviez ordonné, je l'ai salué et je lui ai même fait un petit signe de la main ».

Cello démarre la voiture et lui ordonne de malaxer ses seins et d'étirer ses tétons fortement pendant le trajet, afin que ceux-ci soit bien durs, lorsqu'ils arriverons à la clinique. Le trajet ne dure qu'une petite demi-heure et se passe sans encombre, trop peu de monde dans les rues.

Ils arrivent à la clinique et Cello gare la voiture sur le parking visiteurs, puis il descend de la voiture pour venir ouvrir la portière à Marie et la faire sortir.

C. : « Tu as vu comment tu es fagoté, le bas de ta blouse remonté sur tes cuisses et le haut totalement ouvert.
Heureusement que je suis là pour m'occuper de toi, sinon on pourrait te prendre pour une traînée ».

Cello remet le bas de sa blouse correctement, c'est à dire cachant à peine son cul et remonte le zip jusqu'au milieu de ses seins, afin de bien comprimer ceux-ci, mais laisser apparaître un splendide sillon mammaire et deviner ses tétons durcis.

A l’accueil, la femme qui les reçoit, leur indique où se trouve le bureau de Laurent, tout en lorgnant sur le décolleté de Marie. Ils empruntent un couloir, qui les mène au bureau du toubib. Cello frappe à la porte. Puis ils entrent et après les amabilités d'usages, entre amis, Laurent complimente Marie.

Laurent lui dit qu'elle est très belle, parfaitement bien maquillée et coiffée, qu'il aime son décolleté laissant voir son sillon mammaire généreux et ses tétons durcis pointés sous sa blouse blanche. Elle est heureuse des compliments que lui adresse leur ami. Puis Laurent change de sujet.

L.  : « Avant de rendre visite aux potentiels clients de Marie, il serait bien que nous nous mettions d'accord, sur les tarifs qu'elle doit demander aux vieux pervers richissimes ».

C. : «  Oui tu as raison, il faut un tarif pour chaque prestation ».

M. : « Heu !... Excusez-moi, mais de quelles prestations parlez-vous, je viens juste pour leur donner la tétée ? »

C. : « Qu'est ce que tu peux être naïve, ma pauvre chérie. Si, ils aiment le lait maternel, ils voudront aussi y prendre plaisir ».

M. : « Je pensais que de me téter leur suffirait ».

L. : « Non, pendant la téter par exemple, tu devras les branler, et si cela ne suffit pas à les faire jouir, tu devras peut être les sucer, voir te faire doigter la chatte ou l'anus, ou leur lécher les couilles ou leur mettre un doigt dans le cul ou même le lécher et tout cela à un prix, et c'est de cela que nous devons parler.

C. : « Pendant que nous discutons de tout cela, tu peux t'asseoir sur le canapé, et te caresser.

Marie est humiliée de me faire traitée de naïve et d'être mise de côté pour la discussion alors qu'elle est tout de même la première concernée. Elle va s'asseoir sur le canapé, écarte ses cuisses et commence à se caresser.

L. : « Oh ! Tu sais Marie que c'est la première fois que je te vois avec une culotte. Tu sais que cela te va bien.... Tu devrais en mettre plus souvent, même si ce n'est que pour quelques minutes à chaque fois».

C. : « Bon ! Tu t'occuperas de la petite culotte de Marie, plus tard, et parlons tarif. Que penses-tu de 100 euros pour la téter des nichons, avec branlette. Si elle doit les sucer cela leur coûtera 50 euros de plus, si elle se fait doigter ou lécher, c'est aussi 50 de mieux. 50 encore pour leur lécher les couilles ou leur mettre un doigt dans le fion et 100 pour leur lécher le cul.

L. : « Je vois que tu as réfléchis et penser à tout. 50 pour chaque prestation supplémentaire c'est bien et 100 pour leur mettre la langue dans le cul, c'est correct surtout qu'à cet âge, ils ne sont pas toujours très propres. Mais pourquoi faire gratuite, la branlette pendant la tétée ? »

C. : « C'est commercial ça tu vois ! Ils seront très excités, mais n'auront probablement pas déchargés, aussi il leur faudra un autre service pour cela ».

L. : « Oui, surtout qu'à leur age, il doit leur falloir du temps pour lâcher la purée! »

Marie est abasourdie quand elle entends qu'elle devra peut être, non seulement les sucer et se faire caresser, mais également s’occuper de leur anus, et elle dit :

M. : « Mais enfin monsieur Cello, je ne veux pas leur mettre un doigt dans l'anus ou leur lécher le cul ! »

C. : « Parce que tu crois que tu as le choix, tu es bien une salope et une pute ? »

M. : « … Oui... Mais... »

C. : « Et tu crois qu'une putain à le choix, une putain fait ce qu'on lui demande et ce pourquoi on la paie, et s'il y mette le prix pour que tu t'occupes de leur fion, tu t'occuperas de leur fion. Tu as bien compris ? »

M. : « Oui... Monsieur Cello »

Marie est anéantie, jamais Cello ne lui avait parler aussi durement, et des larmes coulent sur ses joues.

Cello la voyant pleurer, viens m'asseoir près de Marie et la prend dans ses bras, je lui dis :

C. :« Allons, calme toi, tu vas détruire ton maquillage, toi qui était si belle ce matin, et puis tu verras que comme tout ce que je t'ai fait découvrir depuis huit jours, tu y prendras du plaisir, car je sais ce qui est bon pour ma petite chienne. »

M. : « Vous croyez ? »

Marie réconfortée par les paroles de Cello, elle sèche ses larmes, lui souris et l'embrasse, car comme toujours, Cello doit avoir raison.

L. : «  Bon ! On peut reprendre notre discussion, pour l'instant j'ai cinq patients potentiels qui sont susceptible d'être intéressé, si cela leur convient, j'en programmerais un chaque matin vers 10 heures. Il faudra que Marie soit scrupuleusement à l'heure, et elle devra avancer sa prise de sperme avec les jeunes voisins du lotissement. »

C. : « Elle sera à l'heure, c'est moi qui la conduirait ici tous les matins ».

L. : « Parfait ! Et si nous allions voir le premier client de Marie. Il se prénomme Ernest, il a 78 ans, c'est un ancien dirigeant d'entreprise et donc très autoritaire, mais plutôt pas trop mal conservé et surtout célibataire et très riche, comme tous ceux que j'ai choisi. Cela évite des questions de la famille sur ce genre de frais paramédicaux. Bon y va? »

Ils se lèvent et suivent Laurent dans le couloir et empruntent l'ascenseur, de nouveau un couloir et enfin Laurent frappe à la porte d'une chambre et entre. Cello et Marie le suivent :

L. : « Bonjour Ernest ! Comment ça va ce matin ? Je vous présente un confrère monsieur Cello et son infirmière Marie.»

E. : « Bonjour messieurs dame, ça va bien merci ! »

Tout en répondant, le vieux ne quitte pas Marie des yeux. Ils lorgnent sur ses jambes et son décolleté.

Laurent enchaîne : « Il y a une quinzaine de jour, vous m 'avez dit que vous souhaitiez téter une femme ? »

E. : « Bien sûr que je m'en souviens, j'ai toujours cet idée là en tête. Mais pourquoi cette question ? »

L. : « Parce que j'ai la personne, qui vous convient pour cela. Marie, ici présente, est prête à vous donner le sein une fois par semaine, est-ce que cela vous convient ? »

E. : « Pour sûr que cela me convient, mais je suppose qu'elle ne fait pas ça gratuitement la petiote. Combien elle veut, et est ce qu'elle va me sucer aussi? »

C. - Je prends alors la parole et explique au vieux, qu'il lui en coûtera 100 euros et que Marie le branlera pendant la tétée, mais que si il souhaite un autre service, ce sera 50 ou 100 euros de plus par commande supplémentaire.

E. : « Parfait et je peux voir le matériel ? »

Comprenant ce que souhaite Ernest en parlant de matériel, Cello se tourne vers Marie, toujours près de lui, les bras dans le dos pour bien faire ressortir sa poitrine et dit :

« Allez Marie ! Montre ta laiterie à monsieur Ernest ».

Marie humiliée, mais très excitée, car elle apprécie de plus en plus d'être avilie et affichée comme un animal de foire, ouvre sa blouse entièrement et la retire pour la poser sur le dossier d'une chaise, se retrouvant en string, bas et porte-jarretelles devant les 3 hommes. Elle voit le vieux Ernest, ouvrir de grands yeux et il demande en s'approchant d'elle.

E. : « Je peux toucher la camelote? »

Sans attendre une réponse, il pose ses mains sur la poitrine de Marie, il la caresse, la soupèse, la comprime puis saisit ses tétons qu'il roule entre ses doigts et les étire.

E. : « Hum !... Elle a de beaux nichons, ferme et doux et ses tétons sont bien durs ? Mais ses mamelles ne semble pas très pleines, mais je suis ok, j'achète la tétée pour 100 euros, mais combien cela va me coûter si je veux qu'elle me suce, s'occupe de les couilles et de mon cul.

L. : « Elle aura les mamelles bien pleines, la semaine prochaine et cela vous coûteras 50 euros pour vous sucer, 50 de plus pour vous lécher les couilles et les mettre dans sa bouche et 100 de mieux pour vous lécher le cul »

E. : « Euh !... 300 euros pour tout cela pendant une heure... C'est OK, mais je ne veux pas que la demoiselle refuse quoi que ce soit... »

C. : « Elle ne refusera rien, et vous pourrez même lui bouffée la chatte et le cul, et ça c'est cadeau de la maison, mais interdiction de la pénétrer, ni de la doigter. Vous donnerez l'argent chaque vendredi au docteur Laurent, et Marie viendra le lundi matin à 10 heures ».

Laurent qui a pris note de l'accord, dit à monsieur Ernest qu'il établira le contrat, scellant l'accord entre lui et Marie, et qu'il devra le signer en déposant le premier versement, puis ils quittent la chambre, après que Marie est remise sa blouse.

Cello demande alors à Marie :

« Alors ma chérie, es-tu satisfaite de l'accord que nous avons obtenu? »

M. : « Heu !... Oui si vous pensez que c'est un bon deal, mais ce qui m'ennuie, c'est de lui lécher le cul, car je n'ai jamais fait cela, sauf avec vous, même pas à mon mari... Enfin, il a l'air propre... »

C. : « Oui ma chérie et je te connais, tu aimes foutre ta langue dans mon cul et tu verras que tu aimeras cela avec lui, tu es trop perverses pour refuser une opportunité de te pervertir de nouveau avec une nouvelle pratique »

M. ; « Oui vous avez certainement raison, monsieur Cello, vous savez ce qui est bien pour moi et savez me faire franchir de nouvelles frontières du vice, et je vous aime pour cela »

Cello embrasse Marie et passe ma main sous ta blouse. Il constate que son string est trempée et il sais que cela ne sera pas un problème de lui faire faire tout ce qu'il veut.

Ils sont proches de la porte du second client et Laurent dit :

« Vous vous rendez compte Marie, à 300 euros par jour vous gagnerez 9000 euros par mois, et tout cela en prenant du plaisir, c'est pas mal ».

M. : « Heu !... Oui, mais je ne viendrais pas les week-end, cela fera donc moins ».

C. : « Tu sais ma belle le week-end, tu gagneras au moins autant entre le samedi au sex-shop et chez l'épicier, avec la perspective de remportez le jack-pot, si le propriétaire te lègue son magasin lorsqu'il prendra sa retraite dans 2 ou 3 ans.

Ils sont déjà devant la porte, Laurent frappe et entre dans la chambre. L'homme qui les reçoit dans sa chambre est un petit bonhomme malingre, il a près de 80 ans et sans grande prestance, mais suffisamment riche pour pouvoir se payer les mamelles pleines de Marie. Moins riche qu'Ernest, Alfred demande juste une fellation en plus de la tétée. Mais en voyant les fesses nues de Marie, lorsqu'il la fait de tourner, il demande à pouvoir lui goder le cul, pendant la tétée. Cello lui annonce qu'il lui en coûtera un supplément de 50 euros. Ils sont toutefois satisfait de conclure cette seconde affaire à 200 euros, surtout Marie qui a trouvé le vieil homme très doux et très touchant.

Les visites des troisième et quatrième clients se sont déroulées sensiblement comme avec Ernest. Robert et René sont petits, ventrus, chauve et mal rasés. Bien élevés, ils sont cordiaux et acceptent un contrat de 300 euros chacun, avec les mêmes prestations que le premier.

Lorsqu'ils quittent la chambre de René, Laurent les avertis que le cinquième est certainement le plus difficile des cinq. Riche propriétaire terrien, il a tout vendu pour se reposer chez Laurent, mais il est très exigeant et agit comme s'il était encore patron. Il les informe que Georges est obèse, laid et sale. Cello voit aussitôt le visage de Marie se décomposer et il s'approche d'elle et la réconforte.

Ils entrent dans la chambre, et effectivement Laurent était au delà de la vérité. Le vieux Georges est allongé sur son lit, en pyjama, sa veste couvrant à peine son ventre énorme et ses bourrelets. Il doit peser au moins 130 kilos minimum. Il transpire et ses cheveux sont gras. Il n'a pas un double menton, mais un triple. En bref, il est répugnant et pour ne rien arranger, il n'est pas très aimable.

Avant de discuter, il exige que Marie se mettre nue, pour voir la marchandise, et comme celle-ci, lui convient, il accepte de discuter, enfin il veut diriger les débats et fini par conclure :

« Je ne veux pas de barrière, en plus de la téter, j'exige qu'elle fasse tout ce que je veux, lorsque je paie une putain, c'est pour obéir et si je désire qu'elle me chevauche, elle me chevauchera ».

C. : « Je suis désolé, mais les rapports intimes ne sont pas prévus! »

G. : « J'offre 500 euros chaque fois, quoi qu'on fasse, c'est à prendre ou à laisser ».

C. : « 600 euros, ou rien »

Cello risque le coup, malgré l'intransigeance du vieux, il accepte ainsi de livrer Marie à cette masse de graisse répugnante, se disant qu'il ne demandera peut être pas chaque semaine à Marie de le chevaucher.

Jules accepte l'accord à 600 euros et dit qu'il viendra signer le contrat dès mardi.

Dès qu'ils sont de retour dans le couloir, Marie s'effondre en larmes, disant qu'elle ne voulait pas baiser avec le père Georges. Cello la réconforte et la rassure en lui disant qu'il ne demandera peut être pas de relation chaque semaine. Une fois dans le bureau de Laurent, Marie se calme et c'est soulagée par leurs paroles rassurantes qu'elle sourit. Laurent fais rapidement le calcul et annonce à Marie qu'elle va gagner 1700 euros par semaine. Cello et Marie quittent alors la maison de retraite.

Sur le chemin du retour, Cello s'arrête devant un photographe-encadreur. Il demande à Marie de l'attendre, car il n'en a pas pour très longtemps. Cello relève alors sa blouse pour dévoiler largement ses cuisses, et descend le zip pour dévoiler au trois-quart ses grosses mamelles. Avant de sortir, il lui dit :

« Ainsi ma belle, les passants vont pouvoir te mater, pendant que je suis dans le magasin, et si cela t'excite, je te permets même de te caresser ».

Sans attendre de réponse, Cello est déjà dehors et rentre dans le commerce. Il sort une clé USB de sa poche et dit au photographe :

C. : « Voilà, j'ai une demande un peu spéciale à vous demander. Je voudrais que vous fassiez des agrandissements des 3 photos qui sont sur cette clé, sachant que je souhaite que la personne, qui est sur les clichés, aie sa taille exact c'est à dire 1m72 »

« Effectivement, c'est assez spécial, mais faisable, sachant que cela vous fera des tableaux entre 1m80 et 2 mètres. Mais il me faut au moins que sur un des clichés le modèle soit pris debout.

Cello rassure le commerçant et lui donne la clé. Il la place sur son ordinateur portable et voyant le premier cliché, il est surpris, car sur celui-ci, Marie est entièrement nue, debout, les mains derrière la tête, les cuisses légèrement ouvertes.

« Oh ! Magnifique femme ! Avec un tel cliché, il me sera facile de calculer les proportions et de vous satisfaire. Sans êtes indiscret, c'est pour son anniversaire? »

C. : « Non pas du tout, c'est un cadeau pour son mari, afin qu'il n'oublie pas que sa femme est une salope, qu'elle m'appartient et qu'elle fait tout ce que je désire ».

« Effectivement c'est une commande spéciale » dit le photographe en souriant.

Et en regardant les deux autres clichés pris également dans la cabane des chasseurs, il demande :

« Et ces deux clichés sont à faire également grandeur nature ? Ce sera un peu plus long à réaliser, sachant que sur celle-ci, madame est soit courbée sur la table, et sur la dernière elle est allongé les cuisses relevées. Donc il y a quelques calculs à faire mais amplement réalisable. Vous désirez un devis ? »

Cello rassure le photographe, lui certifie immédiatement la commande, avec livraison chez Marie pour le milieu de la semaine, et lui fait un chèque de mille euros d’acompte, sachant que le travail demandé coûtera plus.

Cello demande au photographe d'assurer également la livraison et la mise en place des photographie dans le séjour et le bureau d’Hervé.

Le commerçant accepte en disant qu'il viendra avec un ouvrier, car il faudra au moins être deux pour porter et fixer les tableaux au mur.

Quand Cello revient, Marie n'ose lui demander ce qu'il a fait, imaginant que qu'il a pris rendez vous avec ce professionnel, pour qu'il la photographie pour l'exhiber une fois de plus devant un inconnu, lui reprochant timidement de l'avoir laisser près d'une heure seule, exposée aux regards de passants.

Cello vois que l'une des mains de Marie est posée sur ton string rendu transparent par sa mouille, et lui répond :

« Apparemment, tu ne t'es pas ennuyée, ton string est trempée. Allez retire le, et ensuite on rentre à la maison ».

Marie obéit immédiatement, espérant que Cello va la doigter pendant le trajet jusqu'à chez vous.

Cello démarre le véhicule et posant sa main droite sur sa cuisse, il lui demande :

« Alors ma petite salope, tu as eu beaucoup d'admirateur ? »

M. : « Heu !... Pas vraiment, les piétons passaient en regardant, mais sans montrer de l’intérêt, sauf un il y a une dizaine de minutes. Un SDF apparemment s'est arrêté et m'a mater pendant plusieurs minutes. Puis, il m'a insultée et il est parti. J'avais peur qu'il ameute d'autres personnes, mais non, heureusement ».

C. : « En tout cas, cela t'as excité, tu es trempée. J'espère que ton mari est toujours occupé, car s'il nous voit arriver, il va falloir que je lui explique que tu t'es exhibée dans la voiture et que c'est pour cela que tu n'as plus de culotte et que ta chatte est trempée ».

En arrivant chez lui, Cello gare la voiture directement dans le garage en télécommandant la porte de celui-ci. Je fais descendre Marie du véhicule et elle file dans la salle de bain, retirer son uniforme d'infirmière, prendre une douche et revêtir la robe ajourée qu'elle avait le matin.

Ils se rendent ensuite chez Marie, voir son mari, et l'inviter à dîner. Tout en marchant, sur le trottoir, Cello dit à Marie :

« Demain matin, dès qu'Hervé sera parti, tu ouvriras ta messagerie. Si tu n'as pas de message de ma part, tu te recouches et si je t'ai envoyé un mail, et bien tu devras exécuter ce que je te demanderais. Je ne t'en dis pas plus »

Ils arrivent chez Marie. Hervé les accueille le plus naturellement du monde, demande si tout c'est bien passé, mais en voyant l'inscription que Marie porte à son collier de cuir, il dit :

« Mais chérie, tu ne peux pas garder cela, pense que tu as invité ma famille pour mon anniversaire. Et puis nos amis, nos connaissances et les voisins qui peuvent lire ça... ».

M. : « Monsieur Cello dit que je dois assumer mon nouveau statut de salope et de pute ».

Cello Intervenant, persuade Hervé que Marie doit garder son collier en toute circonstance, mais il décline mon invitation, prétextant qu'il est fatigué et qu'il doit se lever tôt le lendemain matin. Il abandonne donc Marie à son cocu de mari, et rentre chez lui.

Marie avait oublié l'anniversaire d'Hervé, et qu'elle avait invité sa famille. En pensant à son beau-père découvrant mon nouveau statut, elle sent une chaleur envahir mon bas-ventre. Elle doit avouer qu'elle a toujours fantasmé sur son beau-père, un homme autoritaire et, pour l'avoir vu une fois en maillot de bain, mieux pourvu que son fils. C'est avec difficulté qu'elle s'endort près de son mari.

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